Antoine Ronin

Antoine Ronin a grandi en banlieue parisienne et dédié ses premières années de pratique au dessin, à la peinture et au street-art. En 2009, Antoine découvre l’image numérique et les nouveaux potentiels d’écritures qu’offre la révolution des smartphones, des réseaux sociaux et des caméra DSLR.
Il intègre L’E.N.S.A.P.C (Ecole Nationale Supérieure d’Arts de Paris-Cergy) et amorce la nouvelle pratique de ce médium, accompagné notamment par Patrice Rollet (directeur littéraire des Cahiers du cinéma, co-fondateur de la revue de cinéma Traffic). Il travaille aujourd’hui entre Paris et Berlin et produit des films ainsi que des installations mêlant la projection, le son et l’image rétro-éclairée.

« Petit, au moment de m’endormir, les yeux fermés,
j’essayais d’inventer une nouvelle couleur, je trouvais cela fou qu’on ne puisse y arriver,
j’avais beau essayer encore et encore mais je finissais toujours sur une nuance.
Je réalisais à quel point nous étions victime de nos sens et de notre mémoire et ne pouvions donc rien inventer de réellement nouveau… Cette perspective m’horrifiait d’un côté mais continuer à essayer me rassurait… »

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Autour de l’exposition de Dana Fiona Armour et de Dan Flavin, les adolescents du centre social et culturel Rocade-Barbière ont réalisés un court-métrage et une veilleuse.

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En ateliers

Du 22 au 26 août avec les adolescents du centre social et culturel Rocade-Barbière

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“Dans ce dernier film, j’ai voulu ouvrir les perspectives de ce travail de voix-off en enregistrant cette fois-ci ma propre voix.
Il met en scène plusieurs personnages dont un personnage principal féminin, grâce à des effets de transformation de voix l’idée était de pouvoir les interpréter tour à tour en profitant plastiquement de la fragilité que cela pouvait engendrer.
C’est un film qui célèbre la sensation de froid et la saison hivernale en réponse au réchauffement que nous allons vivre.
J’ai finalisé ce film pendant ma résidence en vue de l’exposition personnelle Je sens les lumières blanches couler dans lequel il était projeté au cœur d’une installation comportant une séance de projection (Deux diaporamas et un film) accompagnées de six Veilleuses programmées.”

Suzie se réveille dans le froid, elle a fait un rêve étrange.
Sur le chemin du travail elle repense à lui, au rêve…


Aujourd’hui c’est le jour de signature de son D.G.A.

Calgary en hiver, le long de la rivière Bow, c’est quelque chose !


Sur le parking, Xav le standardiste fume sa clope, elle s’est toujours sentie en connexion avec lui.

Il lui raconte une histoire…

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En résidence

Du 5 au 9 septembre