Célia Pernot est une artiste photographe qui créé des récits photographiques sur des problématiques environnementales et humaines. Son ambition est de sensibiliser à l’importance de la nature par le regard et de raconter des histoires par une mise en scène originale explorant différentes techniques photographiques.
Dans ses ateliers, Célia accompagne les participants dans la création de mise-en-scène allant du réel à l’imaginaire en studio. Photographe puis sujet, chacun éprouve la construction d’une image d’un côté ou de l’autre de l’objectif. Ils observent l’interaction entre la lumière et éprouvent l’engagement du corps, l’expression du visage et d’éventuels accessoires pour trouver l’image juste à photographier.
Célia Pernot intervient avec un public adulte et famille de l’association Passerelle à Avignon.
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La photographie est envisagée comme un outil de sensibilisation à la relation à l’autre, au collectif et au Monde, de l’image que l’on a de soi-même à celle perçût par les autres.
Les participants sont accompagnés dans la création de mises en scènes allant du réel à l’imaginaire.
Photographe puis sujet, chacun éprouve la construction d’un portrait d’un côté ou de l’autre de l’objectif.
Ils observent l’interaction avec la lumière, éprouvent l’engagement du corps, l’expression du visage et l’utilisation d’accessoires pour trouver l’image juste à photographier. Céline, Fawzia, Faysal, Majda, Marwa, Mouad et Yacine ont réalisé des portraits en lumière naturelle dans les paysages des jardins de l’Abbaye Saint André puis, sous la lumière artificielle des flashs d’un studio installé à la Collection Lambert avec différents végétaux obtenus grâce au soutien de Botanic.
Du 22 au 26 août avec l’association Passerelle à Avignon.
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Dans la continuité de mes recherches sur la représentation de la nature, et notamment sur l’éclairage au flash de végétaux tel qu’il est pratiqué pour des oeuvres d’art, j’ai photographié l’oliveraie de l’Abbaye Sant André à Villeneuve-lès-Avignons. Ce sont des moines Bénédictins qui ont planté ces arbres au 18e siècle, sur le site de la nécropole du 6e siècle, au pied de la chapelle Sainet-Casarie.
Ces photographies viennent enrichir mon étude photographique «Écomorphose» sur les phénomènes naturels de variation de la forme d’un organisme en fonction de facteurs écologiques et environnementaux comme la lumière, la température et le vent.
